Ramuz, Remarques p. 106 [référence non-vérifiée] :
"Le point de départ, c'est l'homme et l'homme est aussi le point de retour. Le beau, c'est la rencontre en lui de l'objet extérieur et d'un certain ordre de sentiments qui s'en empare et qui le fait entrer dans telle ou telle de ses combinaisons. Car la nature sans l'homme est dans un éternel exil : de sorte qu'il faut bien dire qu'elle soupire partout après la venue de l'homme ; comme si elle avait quelque chose à dire et ne pouvait pas le dire ; comme si elle avait besoin d'éclore et que, livrée à ses seules forces, elle ne le pouvait pas."