Charyn (Jerome), Marilyn la dingue, trad. R. Fitzgerald, chap VIII :
"Si Rupert avait en lui un dybbuk, un démon qui lui rongeait les tripes, qui l’y avait mis ? Un tel dybbuk ne pouvait être transmis que de père en fils. La violence que Philip avait infligée à son corps, le rongement de ses propres membres, les lacérations qui le grignotaient peu à peu, le pourrissement de la réclusion, le poison des formules d’échecs, les carnages relatifs perpétrés sur un échiquier, les caresses démentes à des hommes de bois, pions, fous et rois, avaient dû engendrer une horrible belette qui s’était glissée sous la peau de Rupert, lui avait empoigné les testicules, noué les tripes et enragé l’esprit. Le dybbuk n’était autre que Philip."
If Rupert had a dybbuk in him, a demon sucking at his intestines, who put it there ? Such a dybbuk could only be passed from father to son. The violence Philip had done to his body, the gnawing of his own limbs, the self lacerations that came a nibble at a time, the rot of living indoors, the poison of chess formulas, degrees of slaughter acted out on a board, the insane fondling of wooden men pawns, bishops, and kings, must have created a horrible scratchy weasel that crept under Rupert’s skin, grabbed hi testicles, tightened his guts, and caused conniptions in his brain. The dybbuk was Philip. No one else.