Kundera, La Valse aux adieux III, 2 :
"Je dois […] me demander dans quel monde j’enverrais mon enfant. L’école ne tarderait pas à me l’enlever pour lui bourrer le crâne de contrevérités que j’ai moi-même vainement combattues pendant toute ma vie. Faudrait-il que je voie mon fils devenir sous mes yeux un crétin conformiste ? Ou bien, devrais-je lui inculquer mes propres idées et le voir souffrir parce qu’il serait entraîné dans les mêmes conflits que moi ?"