Muray, Ultima Necat t. 1 p. 557 :
"L’humour doit dominer les idées, dominer les personnages, régner très haut sur les intrigues du roman, on doit sentir qu’il y a un Dieu qui tire les ficelles de tous ces vaudevilles, au moins un Dieu qui n’est pas mort, un qui est supérieur au non-sens comique de ce qui est raconté. Ce Dieu est l’humour, l’humour est la preuve de Dieu. Dieu est humour. Il n’y a pas de grande œuvre sans l’encouragement de ce Dieu…"