Bloy, sur "L'Histoire de la révolution française", de Carlyle :
"[…] la caricature. Une chose peu noble, d’ailleurs, et que les enfants de l’Église ne doivent pas aimer. Pour notre propre compte, nous la méprisons du fond de notre coeur, parce que nous considérons ce que Dieu a mis dans l’homme et pour quelles fins ineffables il lui a donné ce corps dont chaque molécule a, pour ainsi dire, une signification liturgique depuis que le Verbe s’en est revêtu, et il nous semble que c’est une abominable profanation que de repousser ainsi dans le néant d’où Dieu a tiré sa propre image, cette image même, recréée par la Rédemption."