Goncourt, Journal, 19 mars 1858 :
"Plus je coudoie de ceux-là qui dépensent leur vie, la fièvre de leur esprit dans le Petit Journal, plus je suis convaincu que l'état, les agitations, la vie sans assiette, la précipitation des idées, le détournement de la pensée, de l'observation, du travail lent et mûri rendent ceux-là absolument impropres, même dans l'avenir, à une œuvre ; il faut, pour pondre, une retraite, et comme une nuit à l’esprit ."