Valéry, Cahiers (1913) in Pléiade t. 2 p. 998 :
"Les analogies et les métaphores doivent être considérées les produits réguliers, les actes d’un certain état déterminé, dans lequel tout ce qui paraît ne paraît que dans une sorte de résonance de similitudes. Dans cet état, il n’est pas de chose isolée, l’esprit procède par groupes entiers et ce qui est chose isolée lui est chose incomplète, inachevée. […] Tout le donné est fraction, commencement, insuffisance."