Babel, Sur la route de Brody, in Cavalerie rouge trad. S. Benech, O.C. p. 529 :
"Je pleure sur le sort des abeilles. Elles sont martyrisées par les armées qui s’affrontent. Il n’y a plus d’abeilles en Volhynie.
Nous avons profané les ruches indescriptibles. Nous les avons empoisonnées avec du soufre et fait exploser avec de la poudre. Des chiffons nauséabonds enfumaient la république sacrée des abeilles. Elles mouraient en volant lentement et en bourdonnant de façon à peine audible. Privés de pain, nous extirpions le miel avec nos sabres. Il n’y a plus d’abeilles en Volhynie."