Ferenczi, Thalassa PBP p. 145 note :
"L'adaptation, c'est le renoncement aux objets habituels de satisfaction et l'accoutumance à de nouveaux objets, donc la transformation (toujours pénible au début) d'une perturbation en satisfaction. Cela se produit après identification avec le stimulus pénible puis introjection de celui-ci ; ainsi l'événement perturbant devient partie du Moi (instinct) et par conséquent le monde intérieur (microcosme) devient le reflet du milieu et de ses catastrophes".