Nabokov, lettre à sa mère, octobre 1925 :
"Je sais comment chacun sent, marche, mange, et je comprends comment Dieu, en créant le monde, y trouva une joie pure, exaltante. Nous sommes les traducteurs de la création de Dieu, ses petits plagiaires et menus imitateurs, nous étoffons ce qu'il a écrit, comme un commentateur sous le charme donne parfois un surcroît de grâce à un vers de génie."