Carver, Les feux § De l'Ecriture :
p. 36 :
"Dans une œuvre de fiction, la tension est créée, en partie, par la façon dont les mots concrets sont reliés entre eux pour constituer la trame visible de l'action. Mais il y a aussi les choses non-dites, les choses qui restent entre les lignes, le paysage que l'on sent affleurer sous la surface lisse (ou quelquefois heurtée et irrégulière) des objets visibles."
What creates tension in a piece of fiction is partly the way the concrete words are linked together to make up the visible action of the story. But it’s also the things that are left out, that are implied, the landscape just under the smooth (but sometimes broken and unsettled) surface of things.
p. 33 :
"Au bout du compte, tout ce que nous emporterons avec nous dans la tombe, c'est la certitude d'avoir fait de notre mieux et d'en avoir donné la preuve par notre labeur."
In the end, the satisfaction of having done our best, and the proof of that labour, is the one thing we can take into the grave.