Pepys, Journal, 24 juin 1664, trad. Villoteau (éd. abrégée, Mercure de France p. 244) :
"Il m'a emmené jusqu'au cabinet du roi où il y a une telle profusion de tableaux et d'objets précieux et rares que j'en étais proprement abasourdi et que je n'ai pris aucun plaisir à les regarder. C'est bien la seule fois de ma vie que je ne sus comment prendre de plaisir à cause de la surabondance des choses réunies pour m'en procurer."
... he carried me to the King’s closett : where such variety of pictures, and other things of value and rarity, that I was properly confounded and enjoyed no pleasure in the sight of them ; which is the only time in my life that ever I was so at a loss for pleasure, in the greatest plenty of objects to give it me.
Pepys, Journal, 11 avril 1699 [trad. sommaire M. P.] :
"… un Hollandais nommé Evarelst […] nous montra un petit pot de fleurs qu'il avait peint, le plus beau que j'aie je crois jamais vu de ma vie ; les gouttes de rosée s'accrochant aux feuilles me firent, à plusieurs reprises, poser mon doigt dessus pour sentir si mes yeux étaient trompés ou non."
... a Dutchman, one Evarelst, […] shew us a little flower-pot of his doing, the finest thing that ever, I think, I saw in my life ; the drops of dew hanging on the leaves, so as I was forced, again and again, to put my finger to it, to feel whether my eyes were deceived or no.